Blessures courantes que les massothérapeutes rencontrent dans leur pratique

Blessures courantes que les massothérapeutes rencontrent dans leur pratique


Blessures courantes que les massothérapeutes rencontrent dans leur pratique
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TORTICOLIS


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La massothérapie peut être un traitement efficace des douleurs cervicales.

Le massage peut aider à :

  • Détendre les muscles tendus : Le massage peut aider à détendre les muscles du cou, ce qui peut réduire les spasmes musculaires et les céphalées de tension.
  • Améliorer la circulation : Le massage peut contribuer à améliorer la circulation sanguine dans le cou, ce qui peut aider à réduire l’inflammation et à favoriser la guérison.
  • Améliorer la mobilité : Le massage peut aider à améliorer l’amplitude des mouvements du cou, ce qui peut contribuer à réduire la douleur et la raideur.
  • Réduire le stress : le massage peut aider à réduire le stress et à favoriser la relaxation, ce qui peut avoir un impact positif sur les douleurs cervicales.

Un massothérapeute travaillant avec un client souffrant de douleurs cervicales peut utiliser une variété de techniques pour répondre aux besoins et préférences spécifiques du client. Voici quelques techniques courantes qui peuvent être utilisées pour traiter les douleurs cervicales :

  • Le massage suédois : Ce type de massage implique de longs mouvements doux et un pétrissage pour aider à détendre les muscles et améliorer la circulation.
  • Massage des tissus profonds : Ce type de massage implique l’utilisation d’une pression ferme et de mouvements ciblés pour atteindre les couches plus profondes du tissu musculaire. Il peut être utile pour libérer les tensions musculaires et les raideurs du cou.
  • Thérapie des points de déclenchement : Ce type de massage consiste à exercer une pression sur des points spécifiques des muscles pour aider à soulager les tensions et les douleurs musculaires.
  • Libération myofasciale : Ce type de massage implique l’utilisation d’étirements doux et de pressions pour aider à relâcher les tensions dans le fascia (tissu conjonctif entourant les muscles).

Il est important de noter que le massage ne convient pas forcément à toutes les personnes souffrant de douleurs cervicales. La pression la plus appropriée pour un client souffrant de douleurs cervicales dépend de sa tolérance à la douleur et de ses besoins spécifiques.

Il est important que le thérapeute communique avec le client pour s’assurer que la pression est confortable et ne cause pas d’inconfort supplémentaire. Le thérapeute peut également évaluer les muscles du cou et des zones environnantes afin d’identifier toute zone de tension ou de dysfonctionnement.

Le travail sur ces muscles peut aider à soulager les douleurs cervicales et à améliorer la mobilité. Il est important de noter que les techniques spécifiques utilisées et l’approche adoptée dépendent des besoins et des préférences de chaque client, ainsi que de l’expertise et de la formation du thérapeute.

Il est toujours préférable pour le thérapeute de travailler avec le client pour élaborer un plan de traitement adapté à ses besoins spécifiques. Ce ne sont là que quelques exemples des muscles du cou. Il existe de nombreux autres muscles du cou qui contribuent au mouvement et au soutien de la tête et du cou.

Il existe plusieurs muscles dans le cou qui sont responsables du mouvement et du soutien de la tête et du cou. Les principaux muscles du cou sont les suivants :

  • Sternocléidomastoïdien : ce muscle s’étend du sternum (sternum) et de la clavicule (clavicule) à l’apophyse mastoïde (proéminence osseuse du crâne) et est responsable de la rotation et de la flexion de la tête et du cou.
  • Scalènes : Il existe trois muscles scalènes dans le cou (antérieur, moyen et postérieur) qui vont des vertèbres cervicales (os du cou) à la première côte. Ces muscles contribuent à l’élévation et à la rotation de la première côte pendant la respiration, ainsi qu’aux mouvements de la tête et du cou.
  • Splénius : Il existe deux muscles splénius dans le cou (capitis et cervicis) qui vont de la ligne médiane de la colonne vertébrale à la base du crâne et aux vertèbres cervicales supérieures, respectivement. Ces muscles contribuent à l’extension et à la rotation de la tête et du cou.
  • Levator scapula : Ce muscle va des apophyses transverses (saillies sur les côtés des vertèbres) des vertèbres cervicales et thoraciques supérieures (milieu du dos) à l’omoplate (omoplate) et est responsable de l’élévation de l’omoplate et de la rotation du cou.
  • Trapèze : Ce grand muscle triangulaire s’étend de la base du crâne à la ligne médiane de la colonne thoracique (haut du dos) et est responsable de l’extension, de la rotation et de l’élévation de la tête et du cou, ainsi que du déplacement de l’omoplate.

 

Les étirements du torticolis

Il existe plusieurs étirements qui peuvent être utiles à une personne souffrant de douleurs cervicales. Il est important de consulter un professionnel de la santé ou un thérapeute qualifié avant de commencer un nouveau programme d’étirement, car certains étirements peuvent ne pas convenir à toutes les personnes ou doivent être modifiés en fonction des besoins et des limitations spécifiques de la personne.

Voici quelques exemples d’étirements qui peuvent être utiles en cas de douleurs cervicales :

  • Étirement de l’inclinaison du cou : Asseyez-vous ou tenez-vous droit avec une bonne posture. Inclinez lentement votre tête sur le côté, en ramenant votre oreille vers votre épaule. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ. Répétez l’opération de l’autre côté.
  • Étirement de la rotation du cou : Asseyez-vous ou tenez-vous droit avec une bonne posture. Tournez lentement la tête d’un côté, en ramenant le menton vers l’épaule. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ. Répétez l’opération de l’autre côté.
  • Étirement de l’extension du cou : Tenez-vous droit avec une bonne posture. Penchez lentement la tête en arrière, en regardant vers le plafond. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ.
  • Étirement en flexion du cou : Tenez-vous droit avec une bonne posture. Ramenez lentement votre menton vers votre poitrine, en arrondissant le haut du dos. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ.

TRAPÈZE TENDU OU BLESSÉ


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Il existe plusieurs techniques et outils qui peuvent être utiles pour relâcher la tension dans le muscle trapèze en utilisant des techniques de massage ou de thérapie manuelle. En voici quelques exemples :

  • Le massage : Les techniques de massage telles que le massage suédois, le massage des tissus profonds et la thérapie des points de déclenchement peuvent être utiles pour relâcher la tension dans le muscle trapèze. Le thérapeute peut utiliser une variété de mouvements, comme le pétrissage, le pétrissage et l’effleurage, pour aider à détendre le muscle et à améliorer la circulation, ainsi que des percussions si l’état le permet.
  • Libération myofasciale : Les techniques de relâchement myofascial impliquent l’utilisation d’étirements doux et de pressions pour aider à relâcher les tensions dans le fascia (tissu conjonctif entourant les muscles). Ces techniques peuvent être utiles pour relâcher la tension dans le muscle trapèze.
  • Rouleau en mousse ou balle de tennis : L’utilisation d’un rouleau en mousse pour appliquer une pression sur le muscle trapèze peut aider à libérer les tensions et à améliorer la mobilité.
  • Thérapie par la chaleur : L’application de chaleur sur le muscle trapèze, par exemple avec un pack thermique, peut aider à détendre le muscle et à réduire la douleur.
  • Étirements : les exercices d’étirement qui ciblent le muscle trapèze, comme les inclinaisons du cou, les rotations du cou et les extensions du cou, peuvent aider à améliorer la mobilité et à réduire la tension dans le muscle.

L’origine du muscle trapèze désigne le point d’attache du muscle sur un os ou une structure fixe. L’origine du muscle trapèze comprend :

  • La base du crâne : Le muscle trapèze prend son origine dans la protubérance occipitale externe (proéminence osseuse située à la base du crâne), le ligament nucal (bande de tissu conjonctif qui longe la base du crâne) et les apophyses épineuses (saillies situées sur la face postérieure des vertèbres) de la septième vertèbre cervicale (C7) et des vertèbres thoraciques T1-T12 (milieu du dos).
  • La clavicule (clavicule) : Le muscle trapèze naît également du tiers latéral (externe) de la clavicule.

L’insertion du muscle trapèze désigne le point d’attache du muscle sur un os ou une structure mobile. L’insertion du muscle trapèze comprend :

  • L’omoplate : Le muscle trapèze s’insère dans les bords supérieur (haut) et médial (intérieur) de l’omoplate.

Il est important de noter que le muscle trapèze comporte trois régions principales : la région supérieure (supérieure), la région médiane et la région inférieure (inférieure). Chaque région a ses actions et ses points d’attache spécifiques. Il convient également de noter que le muscle peut présenter des points d’attache supplémentaires ou des variations de structure chez certains individus.

Il est important de noter que les techniques et outils spécifiques utilisés dépendront des besoins et des préférences de la personne, ainsi que de l’expertise et de la formation du thérapeute. Le muscle trapèze est un grand muscle triangulaire divisé en 3 parties, qui s’étend de la base du crâne à la ligne médiane de la colonne thoracique (haut du dos). Il est responsable de l’extension, de la rotation et de l’élévation de la tête et du cou, ainsi que du déplacement de l’omoplate.

Étirements pour les trapèzes

Il existe plusieurs étirements qui peuvent être utiles pour relâcher la tension du muscle trapèze. Il est important de consulter un professionnel de la santé ou un thérapeute qualifié avant de commencer un nouveau programme d’étirement, car certains étirements ne conviennent pas à tous les individus ou doivent être modifiés en fonction des besoins et des limitations spécifiques de la personne.

Voici quelques exemples d’étirements qui peuvent être utiles pour le muscle trapèze :

  • Étirement de l’inclinaison du cou : Asseyez-vous ou tenez-vous droit avec une bonne posture. Inclinez lentement votre tête sur le côté, en rapprochant votre oreille de votre épaule. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ. Répétez l’opération de l’autre côté.
  • Étirement de la rotation du cou : Asseyez-vous ou tenez-vous droit avec une bonne posture. Tournez lentement la tête d’un côté, en ramenant le menton vers l’épaule. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ. Répétez l’opération de l’autre côté.
  • Étirement de l’extension du cou : Tenez-vous droit avec une bonne posture. Penchez lentement la tête en arrière, en regardant vers le plafond. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ.
  • Étirement en flexion du cou : Tenez-vous droit avec une bonne posture. Ramenez lentement votre menton vers votre poitrine, en arrondissant le haut du dos. Maintenez l’étirement pendant 15 à 30 secondes, puis revenez lentement à la position de départ.
  • Serrez les omoplates : tenez-vous droit avec une bonne posture. Serrez vos omoplates l’une contre l’autre et maintenez cette position pendant 5 à 10 secondes. Détendez-vous et répétez.

LÉSIONS DE LA COIFFE DES ROTATEURS


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La coiffe des rotateurs est un groupe de quatre muscles et de leurs tendons correspondants qui attachent l’omoplate (scapula) à l’os du bras (humérus). Ces muscles et tendons aident à faire pivoter et à soulever le bras. Le massage des muscles de la coiffe des rotateurs peut être utile pour libérer les tensions et améliorer la mobilité de l’épaule.

La coiffe des rotateurs est un groupe de quatre muscles et de leurs tendons correspondants qui attachent l’omoplate (scapula) à l’os du bras (humérus). Ces muscles et tendons aident à faire pivoter et à soulever le bras. L’insertion des muscles de la coiffe des rotateurs désigne le point d’attache du muscle sur un os ou une structure mobile.

Les points d’insertion des muscles de la coiffe des rotateurs sont les suivants :

  • Supraspinatus : Ce muscle s’insère dans le grand tubercule (saillie de la partie supérieure de l’humérus).
  • Infraspinatus : Ce muscle s’insère dans le grand tubercule, près du bord postérieur de l’humérus.
  • Teres minor : Ce muscle s’insère dans le grand tubercule, près du bord postérieur de l’humérus.

L’origine des muscles de la coiffe des rotateurs désigne le point d’attache du muscle sur un os ou une structure fixe. Les points d’origine des muscles de la coiffe des rotateurs sont les suivants :

  • Le supra-épineux :
    Ce muscle prend naissance dans la fosse supra-épineuse (une dépression sur la face supérieure de l’omoplate) et dans le ligament supra-scapulaire (une bande de tissu conjonctif qui longe le bord supérieur de l’omoplate).
  • Infraspinatus :
    Ce muscle prend naissance dans la fosse infraspinatus
    (une dépression sur la face postérieure de l’omoplate) et dans le ligament suprascapulaire.
  • Teres minor :
    Ce muscle prend naissance sur le bord postérieur de l’omoplate, près de la fosse infra-épineuse.
  • Le muscle sous-scapulaire :
    Ce muscle prend naissance dans la fosse subscapulaire
    (une dépression sur la face antérieure de l’omoplate).

 

Voici quelques directives générales pour le massage des muscles de la coiffe des rotateurs :

  • Utilisez une variété de mouvements : une combinaison de mouvements de massage suédois, tels que l’effleurage (mouvements de balayage légers) et le pétrissage (pétrissage), et de techniques de traitement des tissus profonds, tels que la friction entre les fibres et la thérapie des points de déclenchement, peut être efficace pour masser les muscles de la coiffe des rotateurs.
  • Concentrez-vous sur les attaches musculaires : portez une attention particulière aux points d’attache des muscles de la coiffe des rotateurs sur l’omoplate et l’humérus, car ces zones sont souvent des sources de tensions.
  • Utilisez vos pouces : les muscles de la coiffe des rotateurs sont petits et situés profondément dans l’articulation de l’épaule. Il peut donc être utile d’utiliser vos pouces ou votre coude pour exercer une pression.
  • Évitez d’appliquer une pression directe sur l’articulation : évitez d’appliquer une pression directe sur l’articulation de l’épaule elle-même, car cela peut être douloureux et potentiellement dangereux. Concentrez-vous plutôt sur le massage des muscles qui entourent l’articulation.
  • Communiquez avec le client : comme pour tout massage, il est important de communiquer avec le client pour s’assurer que la pression est confortable et ne cause pas d’inconfort supplémentaire.

Il existe plusieurs étirements qui peuvent être utiles pour soulager les tensions et améliorer la mobilité des muscles de la coiffe des rotateurs. Il est important de consulter un professionnel de la santé ou un thérapeute qualifié avant de commencer un nouveau programme d’étirement, car certains étirements peuvent ne pas convenir à toutes les personnes ou doivent être modifiés en fonction des besoins et des limitations spécifiques de la personne.

Étirement de la rétraction scapulaire :

L’étirement de rétraction scapulaire est un étirement qui cible les muscles de la coiffe des rotateurs, ainsi que les muscles du haut du dos et des épaules. Cet étirement est conçu pour aider à améliorer la mobilité et la stabilité de la scapula (omoplate) et peut également être utile pour soulager la tension des muscles de la coiffe des rotateurs.

Pour effectuer l’étirement de la rétraction scapulaire :

  • Tenez-vous debout, les bras le long du corps et les pieds écartés à la largeur des épaules.
  • Engagez vos omoplates en les serrant l’une contre l’autre.
  • Levez les bras vers les côtés, en gardant les coudes droits.
  • Maintenez cette position pendant quelques secondes, puis relâchez.
  • Répétez l’étirement pour un total de 10 à 15 répétitions.

Voici quelques exemples d’étirements qui peuvent être utiles pour la coiffe des rotateurs :

  • Étirement du seuil de la porte : Placez-vous dans une porte ouverte, les bras tendus à la hauteur des épaules, les paumes tournées vers l’avant. Déplacez lentement vos bras vers le haut jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans vos épaules. Maintenez cette position pendant 15 à 30 secondes, puis relâchez.
  • Étirement croisé du corps : Tenez-vous debout, les bras le long du corps. Passez votre bras droit en travers de votre corps et attrapez votre coude gauche avec votre main droite. Tirez doucement votre coude gauche vers votre épaule droite jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans votre épaule gauche. Maintenez cette position pendant 15 à 30 secondes, puis relâchez. Répétez l’exercice de l’autre côté.
  • Étirement avec une serviette : Asseyez-vous sur une chaise ou un banc stable avec une serviette enroulée autour de votre main. Tenez les extrémités de la serviette avec vos bras étendus devant vous à la hauteur des épaules. Tirez doucement la serviette vers votre corps jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans vos épaules. Maintenez la position pendant 15 à 30 secondes, puis relâchez.
  • Étirement du mur : Placez-vous face à un mur, les bras tendus devant vous à la hauteur des épaules, les paumes des mains appuyées contre le mur. Déplacez lentement vos bras vers le haut jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans vos épaules. Maintenez cette position pendant 15 à 30 secondes, puis relâchez.

Il est important de garder une bonne posture pendant l’exécution de cet étirement, avec la poitrine soulevée et les épaules détendues. Il est également important de commencer par un étirement doux et d’augmenter progressivement l’intensité à mesure que vous vous sentez plus à l’aise. Comme pour tout étirement, il est important d’écouter votre corps et de vous arrêter si vous ressentez une douleur ou une gêne.

TENDINITE


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La tendinite est une inflammation d’un tendon, qui est une corde solide et fibreuse reliant le muscle à l’os. La tendinite peut survenir lorsqu’un tendon est surmené ou tendu, ce qui entraîne une irritation et un gonflement. La tendinite peut être causée par divers facteurs, notamment la surutilisation, une technique ou une posture inadéquate et une mauvaise condition physique.

La tendinite peut se produire dans n’importe quelle partie du corps où se trouvent des tendons, mais elle est plus fréquente dans les épaules, les coudes, les poignets, les genoux et les chevilles. Les symptômes de la tendinite peuvent inclure la douleur, l’enflure, la raideur et la difficulté à bouger l’articulation touchée.

Le traitement de la tendinite peut comprendre du repos, de la glace, une thérapie physique et des médicaments pour réduire l’inflammation et la douleur. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour réparer le tendon endommagé. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes de tendinite, car une tendinite non traitée peut entraîner des dommages supplémentaires et un handicap.

Un massothérapeute peut utiliser une variété de techniques pour aider à réduire l’inflammation et la douleur associées à la tendinite. Ces techniques peuvent inclure :

  • Les mouvements du massage suédois : Des mouvements légers et doux, tels que l’effleurage (balayage) et le pétrissage (malaxage), peuvent contribuer à améliorer la circulation et à réduire les tensions musculaires.
  • Techniques de traitement des tissus profonds : Des techniques telles que la friction transversale et la thérapie des points de déclenchement peuvent être utilisées pour libérer les nœuds musculaires et rompre le tissu cicatriciel, qui peut contribuer à l’inflammation.
  • Étirements : des étirements doux peuvent aider à améliorer l’amplitude des mouvements et la souplesse de l’articulation concernée, ce qui peut contribuer à réduire la tension sur le tendon.
  • Libération myofasciale : Cette technique consiste à appliquer une pression douce et soutenue sur les tissus entourant le muscle pour relâcher la tension et améliorer la mobilité.
  • Thérapie par la chaleur : L’application de chaleur sur la zone affectée peut aider à augmenter le flux sanguin et à réduire les spasmes et les raideurs musculaires.

Il est important de se rappeler que chaque individu est différent et peut répondre différemment au traitement. Il est préférable de consulter un professionnel de la santé ou un thérapeute qualifié pour obtenir des recommandations personnalisées sur la meilleure façon de gérer la tendinite. La tendinite peut se produire dans n’importe quelle partie du corps où il y a des tendons, mais elle est le plus souvent observée dans les muscles et tendons suivants :

  • L’épaule : Les muscles de la coiffe des rotateurs (sus-épineux, sous-épineux, teres minor et subscapularis) et le tendon du biceps sont des sites courants de tendinite dans l’épaule.
  • Le coude : Le tennis elbow (épicondylite latérale) et le golfer’s elbow (épicondylite médiale) sont deux formes de tendinite qui affectent le coude.
  • Le poignet : Les muscles extenseurs du poignet (situés sur le dessus du poignet) et les muscles fléchisseurs du poignet (situés sur la face inférieure du poignet) peuvent tous deux être affectés par une tendinite.
  • Genou : Les muscles quadriceps (situés à l’avant de la cuisse) et le tendon rotulien (situé sous la rotule) sont des sites courants de tendinite au genou.
  • Cheville : Le tendon d’Achille (situé à l’arrière de la cheville) est un site fréquent de tendinite.

La tendinite peut se produire dans n’importe quel muscle ou tendon du bras, mais certains des muscles et tendons les plus courants sont associés à la tendinite :

  • Muscles de la coiffe des rotateurs : Les muscles de la coiffe des rotateurs (supra-épineux, infra-épineux, teres minor et subscapularis) sont situés dans l’épaule et sont responsables de la rotation et de la stabilisation du bras. La tendinite de ces muscles est fréquente et est connue sous le nom de tendinite de la coiffe des rotateurs.
  • Tendon du biceps : Le tendon du biceps est situé à l’avant de l’épaule et attache le muscle biceps à l’omoplate. La tendinite du biceps est une forme courante de tendinite qui affecte le tendon du biceps.
  • Muscle triceps : Le muscle triceps est situé à l’arrière de la partie supérieure du bras et est responsable de l’extension du coude. La tendinite du triceps est une forme de tendinite qui affecte le tendon du triceps.
  • Muscles de l’avant-bras : Les muscles de l’avant-bras (tels que les extenseurs et les fléchisseurs du poignet) sont situés dans l’avant-bras et sont responsables du mouvement du poignet et des doigts. La tendinite des muscles de l’avant-bras est fréquente et est connue sous le nom de tendinite du poignet ou tendinite de la main.

TUNNEL DU CARPE


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Qu’est-ce que le tunnel du carpe ?

Le syndrome du canal carpien est une affection qui survient lorsque le nerf médian, qui va de l’avant-bras à la main, est comprimé au niveau du poignet. Cela peut entraîner des symptômes tels que des engourdissements, des picotements et une faiblesse dans la main et les doigts. Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de développer le syndrome du canal carpien, notamment :

  • Mouvements répétitifs de la main et du poignet : Les emplois ou les passe-temps qui nécessitent des mouvements répétitifs de la main et du poignet, comme la dactylographie ou le tricot, peuvent exercer une pression supplémentaire sur le nerf médian et entraîner le syndrome du canal carpien.
  • Traumatisme ou blessure au poignet : Une fracture ou une entorse du poignet peut entraîner un gonflement et une inflammation, ce qui peut augmenter le risque de syndrome du canal carpien.
  • La polyarthrite rhumatoïde : Cette maladie auto-immune peut provoquer une inflammation du poignet et entraîner le syndrome du canal carpien.
  • L’obésité : L’excès de poids peut exercer une pression supplémentaire sur le nerf médian et augmenter le risque de syndrome du canal carpien.
  • La grossesse : La rétention d’eau pendant la grossesse peut augmenter le risque de syndrome du canal carpien.
  • Problèmes de thyroïde : Une glande thyroïde hyperactive peut provoquer un gonflement du poignet, entraînant un syndrome du canal carpien.
  • Le diabète : Les personnes atteintes de diabète sont plus sujettes aux lésions nerveuses et peuvent présenter un risque accru de développer un syndrome du canal carpien.
  • Le vieillissement : Le risque de syndrome du canal carpien augmente avec l’âge.

Massothérapie et tunnel du carpe

La massothérapie peut être un traitement efficace du syndrome du canal carpien, car elle peut aider à réduire la tension musculaire et l’inflammation dans le poignet et la main. La massothérapie peut également améliorer la circulation sanguine dans la zone affectée et contribuer à réduire la douleur et l’inconfort.

Il existe plusieurs techniques de massage qui peuvent être utilisées pour traiter le syndrome du canal carpien, notamment :

  • Le massage suédois : Ce type de massage utilise des mouvements longs et fluides pour détendre les muscles et améliorer la circulation.
  • Massage des tissus profonds : Ce type de massage utilise une pression profonde et concentrée pour atteindre les couches les plus profondes du tissu musculaire. Il peut aider à réduire les tensions et les inflammations musculaires.
  • Thérapie des points de déclenchement : Ce type de massage se concentre sur des zones spécifiques du corps où se trouvent des tensions ou des “points de déclenchement”. Ces points peuvent être à l’origine de douleurs et d’inconfort dans d’autres parties du corps, et la thérapie des points de déclenchement peut aider à les libérer.
  • Acupression : Ce type de massage utilise la pression des doigts sur des points spécifiques du corps pour stimuler le flux d’énergie et améliorer la circulation.
Il est important de noter que la massothérapie doit être utilisée en conjonction avec d’autres traitements du syndrome du canal carpien, comme les exercices d’étirement et de renforcement et les attelles.

 

Raisonnement clinique et aperçu du plan de traitement

Un massothérapeute travaille généralement avec un client atteint du syndrome du canal carpien afin d’élaborer un plan de traitement qui comprend la massothérapie ainsi que d’autres traitements, tels que des exercices d’étirement et de renforcement et une attelle. Le plan de traitement spécifique dépendra de la gravité de l’affection et des besoins de chaque client.

Voici quelques éléments communs qui peuvent être inclus dans un plan de traitement du syndrome du canal carpien :

  • Massothérapie : Le massage peut aider à réduire la tension musculaire et l’inflammation du poignet et de la main, ainsi qu’à améliorer la circulation sanguine dans la zone affectée. Les massothérapeutes peuvent utiliser diverses techniques, comme le massage suédois, le massage des tissus profonds, la thérapie des points de déclenchement et l’acupression.
  • Exercices d’étirement et de renforcement : Les exercices d’étirement et de renforcement peuvent aider à améliorer la souplesse et la force du poignet et de la main, ce qui peut contribuer à atténuer les symptômes du syndrome du canal carpien.
  • Attelle : Le port d’une attelle la nuit peut aider à maintenir le poignet en position neutre et à réduire la pression sur le nerf médian.
  • Thérapie par le chaud et le froid : L’application de chaleur ou de froid sur la zone affectée peut aider à réduire la douleur et l’inflammation.
  • Médicaments : Les analgésiques en vente libre, comme l’ibuprofène ou l’acétaminophène, peuvent aider à réduire la douleur et l’inflammation. Dans les cas plus graves, un professionnel de la santé peut prescrire des médicaments plus puissants ou des injections de corticostéroïdes.
  • Chirurgie : Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour libérer la pression sur le nerf médian.
  • Reposez-vous ! Arrêtez ou limitez le mouvement répétitif à l’origine de la blessure.

Il est important de noter que le traitement du syndrome du canal carpien doit être individualisé pour répondre aux besoins de chaque personne. Un massothérapeute travaillera en étroite collaboration avec le client et éventuellement d’autres prestataires de soins de santé pour élaborer le plan de traitement le plus approprié.

Massage et pression pour le tunnel du carpe

L’intensité de la pression exercée sur le poignet d’un client atteint du syndrome du canal carpien doit être déterminée au cas par cas, en tenant compte de la gravité de l’affection et des préférences du client. En général, il est important d’exercer une pression modérée qui soit confortable pour le client. Si le client souffre d’un cas grave de syndrome du canal carpien ou éprouve de la douleur lorsqu’il touche son poignet, il est préférable d’éviter de masser le poignet et de se concentrer sur d’autres parties du corps.

Le massothérapeute doit discuter avec le client de ses symptômes et de son niveau de confort avant de commencer le traitement. Il peut être utile d’utiliser un toucher plus léger au début et d’augmenter progressivement la pression à mesure que le client se sent plus à l’aise. Il est important de communiquer avec le client tout au long du massage pour s’assurer que la pression est confortable et pour l’ajuster au besoin. Le massothérapeute doit également être attentif aux signes d’inconfort ou de douleur, et interrompre le massage si nécessaire.

Muscles liés au tunnel du carpe

Le nerf médian est responsable de la sensibilité du côté de la paume du pouce, de l’index, du majeur et de la moitié de l’annulaire, ainsi que de la fonction motrice de certains petits muscles de la main. Les petits muscles de la main qui sont alimentés par le nerf médian comprennent les muscles thénariens, qui sont situés dans la paume de la main, et les muscles hypothénariens, qui sont situés du côté du petit doigt de la main. Ces muscles sont responsables du mouvement du pouce et des doigts. Outre le nerf médian, le canal carpien contient également les tendons des muscles fléchisseurs de l’avant-bras, qui sont responsables de la flexion des doigts et du poignet.

Les muscles fléchisseurs comprennent le flexor carpi radialis, le flexor carpi ulnaris, le palmaris longus et le flexor digitorum superficialis. Ces muscles sont situés sur la face inférieure de l’avant-bras et s’attachent aux os de la main. Le canal carpien contient également les tendons des muscles extenseurs de l’avant-bras, qui sont responsables du redressement des doigts et du poignet. Les muscles extenseurs comprennent l’extensor carpi radialis longus, l’extensor carpi radialis brevis, l’extensor carpi ulnaris et l’extensor digitorum. Ces muscles sont situés sur la face supérieure de l’avant-bras et s’attachent aux os de la main.

SCIATIQUE


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À propos du nerf sciatique

Le nerf sciatique est le plus gros nerf du corps. Il part du bas du dos, traverse les fesses et descend le long des jambes. La sciatique est un terme qui désigne la douleur causée par l’irritation ou la compression du nerf sciatique. La sciatique peut être causée par divers facteurs, tels qu’une hernie discale dans le bas de la colonne, une sténose spinale (rétrécissement du canal rachidien) ou un spasme musculaire dans le bas du dos. La douleur associée à la sciatique peut varier de légère à sévère, et il peut s’agir d’une affection chronique (à long terme) ou aiguë (à court terme).

Massothérapie et sciatique

Lorsqu’un massothérapeute travaille avec un client atteint de sciatique, il est important de garder les éléments suivants à l’esprit :

  • Commencez par un massage doux. La sciatique peut être une affection douloureuse, il est donc important de commencer par des mouvements doux et apaisants pour aider le client à se détendre.
  • Évitez de masser directement sur le nerf sciatique. Le nerf sciatique descend à l’arrière de la jambe, il est donc préférable d’éviter de se masser directement sur lui. Concentrez-vous plutôt sur les muscles environnants.
  • Concentrez-vous sur le bas du dos et les hanches : la sciatique est souvent causée par des problèmes dans le bas du dos ou les hanches, il peut donc être utile de concentrer votre massage sur ces zones. Vous pouvez utiliser des techniques comme l’effleurage (longs mouvements glissants), le pétrissage (pétrissage ou roulement) et le tapotement (tapotement ou percussion) pour relâcher les muscles tendus et favoriser la relaxation.
  • Faites des mouvements longs et glissants. Des mouvements longs et glissants peuvent aider à détendre les muscles et à réduire la tension.
  • Soyez attentif au niveau de confort du client. Il est important de prêter attention au niveau de confort du client et d’arrêter le massage s’il ressent de la douleur.
  • Utilisez des techniques pour améliorer la circulation. Des techniques telles que l’effleurage (caresse) et le pétrissage (pétrissage) peuvent contribuer à améliorer la circulation et à réduire la tension musculaire.
  • Évitez les points de déclenchement : les points de déclenchement sont des zones musculaires très sensibles qui peuvent provoquer une douleur ou une gêne lorsqu’on les presse. Si vous rencontrez un point de déclenchement pendant que vous massez votre client, essayez d’éviter d’y appliquer une pression directe et travaillez plutôt les muscles environnants.
  • Encouragez les étirements : les étirements peuvent aider à améliorer la souplesse et à réduire la tension musculaire. Vous pouvez donc encourager votre client à étirer le bas de son dos et ses hanches avant et après le massage. Veillez à donner à votre client des instructions d’étirement spécifiques et à l’avertir qu’il doit s’étirer doucement pour éviter toute irritation supplémentaire.

Pression de massage et sciatique

Lorsque vous massez un client atteint de sciatique, il est important de faire attention à la quantité de pression que vous exercez. Une pression trop forte peut provoquer une irritation ou une douleur supplémentaire au niveau du nerf sciatique et des muscles environnants, tandis qu’une pression insuffisante peut ne pas être efficace pour libérer la tension ou l’inconfort.

En règle générale, il faut commencer par une pression légère à modérée et augmenter progressivement la pression selon les besoins et la tolérance du client. Vous pouvez également demander à votre client de vous faire part de ses réactions pendant le massage pour évaluer son niveau de confort et ajuster la pression en conséquence.

Il peut être utile d’utiliser différentes techniques et pressions pendant le massage pour trouver le bon équilibre entre efficacité et confort. Par exemple, vous pouvez commencer par des mouvements longs et doux pour réchauffer les muscles et stimuler la circulation sanguine, puis augmenter progressivement la pression en travaillant sur des zones de tension spécifiques. Vous pouvez également utiliser des techniques comme le pétrissage (pétrissage ou roulement) ou le tapotement (tapotement ou percussion) pour appliquer une pression plus profonde sur des groupes musculaires spécifiques.

N’oubliez pas de toujours écouter les commentaires de votre client et d’être prêt à ajuster votre technique si nécessaire pour vous assurer que vous fournissez un massage confortable et efficace. La pression que vous devez exercer lorsque vous massez un client atteint de sciatique dépend du niveau de douleur et de la tolérance de la personne. En général, il est important de commencer par un toucher plus léger et d’augmenter progressivement la pression au fur et à mesure, en prenant soin d’écouter les commentaires de votre client et d’arrêter s’il ressent une gêne.

Si votre client souffre beaucoup, il est préférable d’éviter les techniques de traitement des tissus profonds et d’utiliser une approche plus douce comme le massage suédois. Le massage suédois implique des mouvements longs et fluides destinés à détendre les muscles et à améliorer la circulation. Vous pouvez utiliser une pression légère à modérée lorsque vous effectuez des techniques de massage suédois, en veillant à ne pas appuyer trop fort sur les zones sensibles.

Si votre client est capable de tolérer une pression plus forte et s’intéresse au travail en profondeur, vous pouvez utiliser des techniques telles que la thérapie des points gâchettes ou le relâchement myofascial pour traiter des zones spécifiques de tension musculaire. Lors de l’exécution des techniques de traitement des tissus profonds, il est important d’exercer une pression ferme et régulière et de communiquer avec votre client sur le degré de pression avec lequel il est à l’aise.

Muscles impliqués dans la sciatique

Les muscles qui sont le plus souvent impliqués dans la sciatique sont ceux du bas du dos et des hanches. Ces muscles comprennent :

  • Le muscle piriforme : ce muscle est situé dans la fesse et aide à faire pivoter la jambe vers l’extérieur.
  • Le muscle grand fessier : ce muscle est le plus grand muscle de la fesse et il contribue à l’extension de la hanche et à la rotation de la jambe vers l’extérieur.
  • Les muscles erector spinae : Ces muscles sont un groupe de muscles longs et fins qui courent le long de la colonne vertébrale et aident à étendre le dos et à maintenir une bonne posture.
  • Le muscle quadratus lumborum : ce muscle est situé dans le bas du dos et permet de fléchir la colonne vertébrale et de maintenir une bonne posture.
  • Les muscles fléchisseurs de la hanche : Ces muscles, qui comprennent les muscles iliopsoas, rectus femoris et sartorius, sont situés à l’avant de la hanche et aident à fléchir l’articulation de la hanche.

Jugement clinique en tant que thérapeute

Le massothérapeute doit tenir compte de quelques éléments clés lorsqu’il travaille avec un client qui souffre de douleurs de bas niveau dues à une sciatique :

  • Évaluez le niveau de douleur du client : Il est important d’interroger le client sur l’intensité et la localisation de sa douleur, ainsi que sur tout autre symptôme qu’il pourrait ressentir. Cela vous aidera à comprendre l’état du client et à déterminer la meilleure façon de le traiter.
  • Identifiez la cause sous-jacente de la douleur : La sciatique peut être causée par différents facteurs, comme une hernie discale, une sténose vertébrale ou des spasmes musculaires dans le bas du dos. Comprendre la cause spécifique de la douleur du client peut vous aider à adapter votre approche thérapeutique et à vous concentrer sur les groupes musculaires les plus pertinents.
  • Tenez compte des antécédents médicaux du client : assurez-vous de demander au client s’il a des problèmes de santé ou des blessures, ainsi que les médicaments qu’il prend. Ces informations peuvent vous aider à anticiper toute contre-indication ou précaution potentielle à prendre pendant le massage.
  • Utilisez un toucher doux : en cas de douleur de faible intensité, il est généralement prudent d’utiliser un toucher doux et une technique de massage plus relaxante, comme le massage suédois. Évitez d’utiliser des techniques de massage des tissus profonds ou d’appliquer trop de pression, car cela pourrait provoquer une gêne ou une irritation supplémentaire.
  • Encouragez le client à communiquer : il est important d’encourager le client à parler s’il ressent une gêne ou une douleur pendant le massage. Cela vous permettra d’ajuster votre technique et de vous assurer que vous fournissez le traitement le plus confortable et le plus efficace possible.

En tenant compte de ces considérations, vous pouvez vous assurer de fournir les meilleurs soins possibles à votre client atteint de sciatique et l’aider à gérer sa douleur et à améliorer sa qualité de vie.

DOULEUR AU BAS DU DOS


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Causes courantes des douleurs lombaires

De nombreux facteurs peuvent provoquer des douleurs lombaires, notamment :

  • Déformation ou entorse musculaire : Une surutilisation ou une blessure des muscles, des ligaments ou des tendons du bas du dos peut provoquer des douleurs et des raideurs.
  • Hernie discale : Une hernie discale se produit lorsque la matière molle et gélatineuse à l’intérieur du disque sort par une déchirure de la couche externe. Cela peut exercer une pression sur les nerfs de la colonne vertébrale et provoquer des douleurs dans le bas du dos.
  • Sténose rachidienne : Cela se produit lorsque les espaces dans la colonne vertébrale se rétrécissent, ce qui peut exercer une pression sur les nerfs et provoquer des douleurs dans le bas du dos.
  • L’ostéoarthrite : Il s’agit d’un type de maladie articulaire dégénérative qui peut provoquer des douleurs et des raideurs dans le bas du dos.
  • Sciatique : Ce terme désigne la douleur causée par l’irritation ou la compression du nerf sciatique, qui part du bas du dos, traverse les fesses et descend le long des jambes.
  • Scoliose : Il s’agit d’une affection dans laquelle la colonne vertébrale est courbée d’un côté, ce qui peut provoquer des douleurs dans le bas du dos.
  • Mauvaise posture : Le maintien d’une mauvaise posture pendant de longues périodes peut entraîner des tensions musculaires et des douleurs lombaires.

 

Massage et pression pour les douleurs lombaires

La quantité de pression qu’un massothérapeute doit utiliser pour les douleurs lombaires dépend du niveau de douleur et de la tolérance de la personne. En général, il est important de commencer par un toucher plus léger et d’augmenter progressivement la pression au fur et à mesure, en prenant soin d’écouter les commentaires du client et d’arrêter s’il ressent un quelconque inconfort.

Si le client souffre beaucoup, il est préférable d’éviter les techniques de tissus profonds et d’utiliser une approche plus douce comme le massage suédois. Vous pouvez exercer une pression légère à modérée lors de l’exécution des techniques de massage suédois, en veillant à ne pas appuyer trop fort sur les zones sensibles.

Si le client est capable de tolérer une pression plus forte et s’intéresse au travail en profondeur, vous pouvez utiliser des techniques telles que la thérapie des points gâchettes ou le relâchement myofascial pour traiter des zones spécifiques de tension musculaire.

Lors de l’exécution des techniques de traitement des tissus profonds, il est important d’exercer une pression ferme et régulière et de communiquer avec le client sur le niveau de pression qu’il accepte. N’oubliez pas d’écouter les commentaires du client et d’arrêter s’il ressent une gêne.

Il est important de se rappeler que chaque personne est différente et peut réagir différemment au massage. Il est toujours bon de communiquer avec le client et de lui demander son avis pour s’assurer que vous lui offrez le traitement le plus confortable et le plus efficace possible.

Il existe de nombreuses autres causes possibles de douleurs lombaires.

Muscles impliqués dans les douleurs lombaires

Les douleurs lombaires peuvent être causées par différents facteurs, et les muscles spécifiques qui sont impliqués dépendent de la cause de la douleur. Les groupes de muscles les plus courants pouvant contribuer aux douleurs lombaires sont les suivants.

  • Le multifidus : Il s’agit d’un petit muscle qui court le long de la colonne vertébrale et qui aide à soutenir la colonne et à maintenir une bonne posture.
  • L’erector spinae : Ce groupe de muscles s’étend le long des côtés de la colonne vertébrale et est chargé de nous aider à maintenir une position verticale.
  • Le quadratus lumborum : Ce muscle est situé sur les côtés du bas du dos et contribue à soutenir la colonne vertébrale et à déplacer les hanches.
  • Les muscles fessiers : Ces muscles, qui comprennent le grand fessier, le moyen fessier et le petit fessier, sont situés dans les fesses et sont chargés de supporter le poids du corps et de nous aider à bouger les jambes et les hanches.
  • Les fléchisseurs de la hanche : Ces muscles, qui comprennent l’iliopsoas et le rectus femoris, sont situés à l’avant des hanches et sont responsables de la flexion de l’articulation de la hanche.

Conseils pour travailler avec un client souffrant de douleurs lombaires

Lors de l’évaluation des douleurs lombaires, il est important pour un massothérapeute de prendre en compte un certain nombre de facteurs afin d’élaborer un plan de traitement efficace. Voici quelques considérations clés à garder à l’esprit :

  • Évaluez le niveau de douleur du client : il est important d’interroger le client sur l’intensité et la localisation de sa douleur, ainsi que sur tout autre symptôme qu’il pourrait ressentir. Cela vous aidera à comprendre l’état du client et à déterminer la meilleure façon de le traiter.
  • Identifiez la cause sous-jacente de la douleur : Les douleurs du bas du dos peuvent être causées par différents facteurs, tels qu’un claquage musculaire, une hernie discale, une sténose spinale ou de l’arthrose. Comprendre la cause spécifique de la douleur du client peut vous aider à adapter votre approche thérapeutique et à vous concentrer sur les groupes musculaires les plus pertinents.
  • Tenez compte des antécédents médicaux du client : assurez-vous de demander au client s’il a des problèmes de santé ou des blessures, ainsi que les médicaments qu’il prend. Ces informations peuvent vous aider à anticiper toute contre-indication ou précaution potentielle à prendre pendant le massage.
  • Évaluez la posture du client : une mauvaise posture peut contribuer aux douleurs lombaires, il est donc important d’évaluer la posture du client et d’identifier toute zone de tension ou de déséquilibre musculaires.
  • Tenez compte du mode de vie du client : les activités quotidiennes et la profession du client peuvent également contribuer à ses douleurs lombaires. Il peut donc être utile de l’interroger sur ses habitudes de travail et de loisirs.

En tenant compte de ces considérations, vous pouvez élaborer un plan de traitement adapté aux besoins spécifiques du client et le plus susceptible de soulager ses douleurs lombaires et d’améliorer sa qualité de vie.

PECTORAUX BLESSÉS


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A propos des pectoraux

Les muscles pectoraux, également appelés pectoraux ou pecs, sont un groupe de muscles situés dans la poitrine. Ils sont responsables du mouvement des bras et des épaules et sont importants pour des activités telles que soulever, pousser et tirer. Les muscles pectoraux sont constitués de deux muscles principaux : le grand pectoral et le petit pectoral. Le grand pectoral est le plus grand des deux muscles et est responsable du déplacement du bras le long du corps (adduction) et de sa rotation vers l’intérieur (rotation interne). Le petit pectoral est un muscle plus petit situé sous le grand pectoral et est responsable du déplacement de l’omoplate (scapula) vers le bas et l’avant. Les muscles pectoraux sont importants pour maintenir une bonne posture et sont souvent entraînés dans le cadre d’exercices de force et de conditionnement. Ils peuvent être exercés à l’aide d’une variété d’exercices différents, tels que les pompes, les presses de poitrine et les flys de poitrine.

Les muscles pectoraux sont reliés à un certain nombre d’os du corps, notamment

  • Le sternum : Les muscles pectoraux sont reliés au sternum, ou sternum, qui est un os long et plat situé au centre de la poitrine.
  • La clavicule : Les muscles pectoraux sont également reliés à la clavicule, ou clavicule, qui est un os long et fin situé entre le sternum et l’omoplate (scapula).
  • L’omoplate : Les muscles pectoraux sont reliés à la scapula, ou omoplate, qui est un os de forme triangulaire situé à l’arrière de l’épaule.
  • L’humérus : Les muscles pectoraux sont reliés à l’humérus, qui est l’os de la partie supérieure du bras.

En se connectant à ces os, les muscles pectoraux sont capables de bouger les bras et les épaules et jouent un rôle dans des activités telles que soulever, pousser et tirer.

La massothérapie et les pectoraux

La massothérapie peut être utile pour soulager les tensions et améliorer la souplesse des muscles pectoraux. Voici quelques techniques spécifiques qu’un massothérapeute peut utiliser pour cibler les muscles pectoraux :

  • Pétrissage :
    Cette technique consiste à pétrir ou à faire rouler les muscles entre le pouce et les doigts ou avec la paume de la main.
  • Effleurage :
    Cette technique consiste en de longs mouvements fluides destinés à détendre les muscles et à améliorer la circulation.
  • Friction transversale des fibres :
    Cette technique consiste à utiliser de petits mouvements circulaires pour appliquer une pression sur les fibres du muscle.
  • Thérapie des points de déclenchement :
    Cette technique consiste à appliquer une pression sur des points spécifiques du muscle, connus sous le nom de points de déclenchement, qui peuvent provoquer des douleurs et une gêne lorsqu’ils sont tendus ou hyperactifs.
  • Libération myofasciale :
    Cette technique consiste à appliquer une pression soutenue sur le fascia (une fine couche de tissu conjonctif entourant les muscles) pour aider à relâcher les tensions et améliorer la flexibilité.

En incorporant ces techniques dans une séance de massage, le thérapeute peut aider à soulager les tensions musculaires et à améliorer la mobilité des muscles pectoraux. Comme pour tout traitement de massage, il est important de communiquer avec le client sur son niveau de confort et d’ajuster la technique si nécessaire.

Pression de massage

Lorsqu’il travaille avec un client qui a des tensions dans les muscles pectoraux, il est important pour le massothérapeute de tenir compte des points suivants :

  • Le niveau de douleur du client : Il est important d’interroger le client sur l’intensité de sa tension musculaire et de toute douleur associée, ainsi que sur sa tolérance à la douleur. Cela vous aidera à déterminer le niveau de pression approprié à utiliser pendant le massage.
  • La morphologie du client : L’épaisseur et la densité des muscles pectoraux peuvent varier d’une personne à l’autre. Il est donc important de tenir compte de la morphologie du client pour déterminer le niveau de pression approprié.
  • La préférence du client : Certains clients préfèrent un massage plus relaxant avec une pression plus légère, tandis que d’autres préfèrent un massage plus profond et plus thérapeutique. Il est important de demander au client quelle est sa préférence et d’ajuster la pression en conséquence.
  • L’âge et la condition physique du client : Les clients plus âgés ou ceux qui souffrent de certaines conditions médicales peuvent avoir une tolérance plus faible à la pression, il peut donc être nécessaire d’utiliser un toucher plus léger avec ces clients.
  • Évaluez la posture du client : une mauvaise posture peut contribuer à la tension des muscles pectoraux, il est donc important d’évaluer la posture du client et d’identifier toute zone de tension ou de déséquilibre musculaires.
  • Tenez compte du mode de vie du client : les activités quotidiennes et la profession du client peuvent également contribuer à sa tension musculaire. Il peut donc être utile de l’interroger sur ses habitudes de travail et de loisirs.
  • Les étirements, il est souvent important de commencer le processus d’ouverture des pectoraux.

BLESSURES AUX ISCHIO-JAMBIERS ET À LA BANDE IT


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Causes communes

Il existe plusieurs causes courantes de blessures aux ischiojambiers et à la bande IT, notamment :

  • Surutilisation : L’utilisation répétée des ischiojambiers et de la bande IT sans leur accorder un repos suffisant peut entraîner des tensions ou des inflammations musculaires.
  • Mauvaises habitudes d’étirement : Ne pas s’étirer correctement avant un exercice ou une activité physique peut augmenter le risque de blessure aux ischiojambiers et à la bande IT.
  • Faiblesse des fessiers : La faiblesse des muscles fessiers (situés dans les fesses) peut entraîner un déséquilibre de la force musculaire, ce qui augmente le risque de blessure aux ischiojambiers et à la bande IT.
  • Mauvaises chaussures : Le port de chaussures qui n’offrent pas un soutien ou un amortissement adéquat peut augmenter le risque de blessure aux ischiojambiers et à la bande IT.
  • Changements soudains du niveau d’activité : L’augmentation rapide de l’intensité ou de la durée d’une activité physique sans préparation adéquate peut entraîner une tension ou une inflammation musculaire.
  • Mauvaise technique : L’utilisation d’une mauvaise technique lors d’un exercice ou d’une activité physique peut augmenter le risque de blessure aux ischiojambiers et à la bande IT.

La massothérapie et la bande IT

Il existe plusieurs techniques de massothérapie qui peuvent être efficaces pour traiter les problèmes de la bande IT et/ou des ischiojambiers. En voici quelques-unes :

  • Massage par friction : Cette technique consiste à appliquer une pression profonde sur la bande IT ou les ischiojambiers en utilisant le bout des doigts ou les articulations. Le thérapeute peut utiliser des mouvements circulaires ou de va-et-vient pour appliquer la pression.
  • Friction transversale des fibres : Cette technique consiste à utiliser le bout des doigts ou les articulations pour appliquer une pression sur les fibres du muscle. Cela peut aider à briser le tissu cicatriciel et à améliorer la flexibilité.
  • Libération myofasciale : Cette technique consiste à appliquer une pression soutenue sur la bande IT ou les ischiojambiers à l’aide de la paume des mains ou d’un rouleau en mousse. Le thérapeute peut utiliser un mouvement de balancement pour aider à relâcher la tension dans le muscle.
  • Thérapie des points de déclenchement : Cette technique consiste à appliquer une pression sur des points spécifiques du muscle, appelés “points de déclenchement”, qui peuvent être à l’origine de douleurs et de tensions.

Pression lors du massage pour la bande IT

En tant que massothérapeute, il est important de commencer par un toucher léger lorsque vous travaillez sur des ischiojambiers blessés et d’augmenter progressivement la pression selon la tolérance.

Il est également important d’écouter les commentaires de la personne et d’ajuster la pression en conséquence. Si la personne ressent une douleur aiguë ou fulgurante, il est important de réduire la pression et d’en informer le thérapeute.

Il est également important de garder à l’esprit que la massothérapie ne doit pas causer de douleur. Si la personne ressent une douleur pendant le massage, il est important de le signaler au thérapeute et d’ajuster la technique ou la pression au besoin.

Il est également important de tenir compte de la gravité de la blessure pour déterminer le niveau de pression approprié.

Pour les blessures plus graves, il peut être nécessaire d’utiliser un toucher plus léger au départ et d’augmenter progressivement la pression à mesure que la douleur et l’inconfort de la personne s’atténuent. Il faut toujours être attentif au niveau de confort de la personne et à ses réactions.

Muscles concernés

La bandelette ilio-tibiale (IT) est une épaisse bande d’aponévroses qui court le long de l’extérieur de la jambe, du bassin au tibia (os du tibia). Elle s’attache à plusieurs muscles, dont le grand fessier, le tenseur du fascia lata et le biceps fémoral (un muscle du groupe des ischiojambiers).

Les ischiojambiers sont un groupe de trois muscles situés à l’arrière de la cuisse. Ils comprennent les :

  • Biceps fémoral : Ce muscle possède deux têtes, une longue et une courte. La tête longue part de la tubérosité ischiatique (os de la cuisse) et la tête courte part de la ligne d’aspérité (une crête sur le fémur). Les deux têtes s’attachent à la tête du péroné (un os de la jambe inférieure).
  • Semitendinosus : Ce muscle naît de la tubérosité ischiatique et s’insère dans la partie supérieure du tibia.
  • Semimembranosus : Ce muscle naît de la tubérosité ischiatique et s’insère dans le condyle médial du tibia (une proéminence osseuse sur la partie interne du tibia).

Tous ces muscles travaillent ensemble pour fléchir la hanche, étendre le genou et faire tourner la jambe vers l’intérieur. Ils aident également à stabiliser le bassin et à maintenir l’équilibre lorsqu’on se tient sur une jambe.

Raisonnement clinique pour la bande IT

En tant que massothérapeute, il est important de faire preuve de jugement clinique lorsque vous travaillez avec des clients souffrant de blessures aux ischiojambiers. Cela signifie qu’il faut tenir compte de facteurs tels que la gravité de la blessure, le niveau de douleur et la tolérance de la personne, ainsi que le stade de guérison. Si la blessure est grave ou si la personne ressent une forte douleur, il peut être nécessaire d’utiliser un toucher plus doux et d’éviter certaines techniques qui pourraient exacerber la blessure. Dans ces cas, il peut être plus approprié de se concentrer sur des techniques qui peuvent aider à réduire l’inflammation et la douleur, comme la libération myofasciale ou la thérapie des points de déclenchement.

Au fur et à mesure que la douleur et l’inconfort de la personne s’atténuent et que la blessure commence à guérir, il peut être approprié d’augmenter progressivement l’intensité du massage et d’incorporer des techniques qui peuvent aider à améliorer la flexibilité et l’amplitude des mouvements. Cependant, il est important de continuer à surveiller le niveau de confort de la personne et d’ajuster la technique si nécessaire. En général, il est important de faire preuve de jugement clinique et de tenir compte des besoins et des limites spécifiques de la personne lors de l’élaboration d’un plan de traitement pour une blessure aux ischiojambiers. Il est également important de communiquer avec la personne sur ses objectifs et ses préférences en matière de traitement et de l’impliquer autant que possible dans le processus de décision.

ENTORSE DE LA CHEVILLE OU BLESSURE


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Qu’est-ce que l’entorse à la cheville ?

L’entorse de la cheville est un terme utilisé pour décrire une blessure des muscles, des tendons ou des ligaments de la cheville. Les entorses à la cheville sont généralement causées par une surutilisation, des chaussures inadaptées ou des mouvements soudains qui entraînent une torsion ou une rotation de la cheville dans une position inconfortable. Les symptômes de l’entorse de la cheville peuvent inclure une douleur, un gonflement, une ecchymose, une difficulté à marcher et à supporter le poids sur la cheville concernée.

La gravité de l’entorse peut aller de légère à grave, selon l’étendue de la blessure. Le traitement de l’entorse de la cheville peut comprendre le repos, la glace, la compression et l’élévation (RICE) pour réduire le gonflement et la douleur, ainsi que des exercices de physiothérapie pour améliorer la souplesse et la force. Dans certains cas, des attelles de cheville ou d’autres dispositifs de soutien peuvent être recommandés pour aider à stabiliser la cheville et prévenir d’autres blessures.

Massothérapie et entorse à la cheville

La massothérapie peut être une option de traitement efficace pour les personnes souffrant de foulure à la cheville. Le massage peut aider à réduire l’inflammation et l’enflure, à améliorer la circulation et à réduire la tension musculaire. Il peut également contribuer à améliorer l’amplitude des mouvements et la souplesse, ce qui peut être bénéfique pendant le processus de récupération.

Pression de massage pour une entorse à la cheville

Le niveau de pression approprié à utiliser pour masser un client souffrant d’une entorse à la cheville dépend de la gravité de la blessure et de la tolérance à la douleur de la personne. En général, il est important de commencer par un toucher léger et d’augmenter progressivement la pression selon la tolérance. Il est important d’écouter les commentaires de la personne et d’ajuster la pression en conséquence.

Si la personne ressent une douleur aiguë ou fulgurante, il est important de réduire la pression et d’en informer le thérapeute. Il est également important de garder à l’esprit que la massothérapie ne doit pas causer de douleur. Si la personne ressent une douleur pendant le massage, il est important de le signaler au thérapeute et d’ajuster la technique ou la pression au besoin. Il est également important de tenir compte du stade de la guérison pour déterminer le niveau de pression approprié.

Pour les blessures plus graves ou au début du processus de guérison, il peut être nécessaire d’utiliser un toucher plus léger au départ et d’augmenter progressivement la pression au fur et à mesure que la douleur et l’inconfort de la personne s’atténuent. En général, il est important d’utiliser un toucher doux et d’augmenter progressivement la pression selon la tolérance, tout en tenant compte du niveau de confort de la personne et de ses réactions.

Muscles liés à la cheville

L’articulation de la cheville est formée par le tibia (os du tibia) et le péroné (un os de la jambe inférieure) et est soutenue par un réseau de muscles, de tendons et de ligaments. Certains des muscles et des tendons qui sont reliés à la cheville sont les suivants :

  • Tibialis anterior : Ce muscle naît des deux tiers supérieurs du tibia et s’insère dans la base du premier os métatarsien (un os du pied). Il est responsable de la flexion de la cheville et des orteils et de la rotation du pied vers l’intérieur.
  • Peroneus longus : Ce muscle naît de la tête du péroné et des deux tiers supérieurs du péroné et s’insère dans la base du premier os métatarsien. Il est responsable de l’éversion (rotation vers l’extérieur) du pied et de la cheville.
  • Peroneus brevis : Ce muscle naît des deux tiers inférieurs du péroné et s’insère dans la base du cinquième os métatarsien (un os du pied). Il est responsable de l’éversion du pied et de la cheville.
  • Gastrocnémien : Ce muscle naît de la partie postérieure (arrière) du fémur (os de la cuisse) et s’insère dans le calcanéum (os du talon). Il est responsable de la flexion plantaire (orientation) du pied et de la cheville.
  • Soléaire : Ce muscle naît de la partie postérieure du tibia et du péroné et s’insère dans le calcanéum. Il est responsable de la flexion plantaire du pied et de la cheville.
  • Tendon d’Achille : Ce tendon relie les muscles gastrocnémiens et soléaires au calcanéum et est responsable de la flexion plantaire du pied et de la cheville.

Ces muscles et tendons travaillent ensemble pour permettre le mouvement et la stabilité de l’articulation de la cheville.

Raisonnement clinique et massothérapie pour les tensions de la cheville

  • Il peut être nécessaire d’utiliser un toucher plus doux et de se concentrer sur des techniques qui peuvent aider à réduire l’inflammation et la douleur, comme le relâchement myofascial ou la thérapie des points de déclenchement. Au fur et à mesure que la blessure s’améliore, le thérapeute peut augmenter progressivement l’intensité du massage et intégrer des techniques qui peuvent aider à améliorer la souplesse et l’amplitude des mouvements.
  • Le stade de la guérison : Il est important de tenir compte du stade de la guérison lors de l’élaboration d’un plan de traitement. Au début du processus de guérison, l’accent peut être mis sur la réduction de l’inflammation et de la douleur et sur la promotion de la guérison. Au fur et à mesure que la blessure s’améliore, le thérapeute peut se concentrer sur des techniques qui peuvent aider à améliorer la flexibilité et l’amplitude des mouvements.
  • Présence d’autres blessures ou affections : Il est important de tenir compte des autres blessures ou affections dont le client peut souffrir, car elles peuvent avoir une incidence sur l’approche thérapeutique. Par exemple, si le client est diabétique, le thérapeute devra peut-être utiliser un toucher plus doux et être attentif au risque de lésions nerveuses.
  • Les préférences du client : Il est important d’impliquer le client dans le processus de prise de décision et de tenir compte de ses objectifs et préférences en matière de traitement. Le thérapeute doit travailler avec le client pour déterminer l’approche thérapeutique la plus appropriée et ajuster le plan de traitement si nécessaire.

En général, il est important d’utiliser le raisonnement clinique et de tenir compte des besoins et des limites spécifiques de l’individu lors de l’élaboration d’un plan de traitement pour un client souffrant d’une blessure à la cheville. Il est également important de communiquer avec le client sur ses objectifs et ses préférences en matière de traitement et de l’impliquer autant que possible dans le processus de décision.

 

SOMMAIRE DES MUSCLES RÉFÉRENCÉS DANS CET ARTICLE


Muscles du cou

  • Sternocleidomastoid
  • Scalènes
  • Splénius
  • Levator scapula
  • Trapèze

 Tendinites

  • Épaule : coiffe des rotateurs et biceps
  • Poignet (avant-bras) : muscles extenseurs et fléchisseurs
  • Muscles thénariens et hypothénariens (bouger les doigts et les pouces).

Douleurs lombaires

  • Multifidus
  • Erector spinae
  • QL
  • Fessiers
  • Fléchisseurs de la hanche

Bandelette IT / Ischio-jambiers

  • IT band (s’attache au grand fessier, au tenseur fascialatae, au biceps fémoral)
  • Biceps fémoral
  • Semitendinosus
  • Semimembranosus

Sciatique

  • Piriforme
  • Grand fessier
  • Erector spinae
  • QL
  • Fléchisseurs de la hanche : iliacus, psoas, rectus femoris, sartorius

 Coiffe des rotateurs

  • Supraspinatus
  • Infraspinatus
  • Teres minor
  • Sous-scapulaire

 

Pectoraux

  • Muscles pectoraux

Cheville

  • Tibialis anterior
  • Peroneus longus
  • Petit péroné
  • Gastrocnémien
  • Soléaire

Blessures courantes

 Muscles fléchisseurs du bras

  • Flexor carpi ulnaris
  • Flexor carpi radialis
  • Grand palmaire
  • Flexor digitorum superficialis